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Arnold Panda, citoyen suisse d’origine congolaise, disputera la finale amateurs de boxe anglaise dans la catégorie des super-lourds, le 1er novembre 2025 à Collombey-Muraz. Âgé de 34 ans, ce colosse sensible et charismatique s’impose par son élégance et sa puissance sur le ring. Encadré par Christophe Rime et Thobias San Antonio, il aborde ce rendez-vous comme un véritable voyage intérieur, symbole d’un parcours marqué par la persévérance, la passion et le respect du noble art.


Avec son entraineur Christophe Rime

Arnold Panda, citoyen suisse d’origine congolaise (République du Congo), boxeur dans la catégorie des super-lourds, affrontera Ronan Bonnemain le 1er novembre 2025 à la Salle des Perraires à Collombey-Muraz, lors de la finale amateurs de boxe anglaise, au sein d’une journée consacrée à la boxe (heure du combat à vérifier – début des combats à partir de 15h).

Âgé de 34 ans, il mesure 1,87 m, pèse 95 kg et est droitier. Il a commencé la boxe tardivement, mais son potentiel impressionne. Encadré par Christophe Rime et Thobias San Antonio, il bénéficie d’un accompagnement solide et attentif. Pour son interview, Arnold Panda est accompagné de Thobias San Antonio, témoignant de la complicité qui unit le boxeur et son entraîneur.

Avec ses entraineurs Thobias San Antonio et Christophe Rime

Homme attachant, Arnold inspire la sympathie et le respect. Affable et souriant, il vit la boxe comme un art, loin de toute hargne. Pour lui, ce sport est un moyen de se retrouver, de se centrer, de voir plus loin.

Colosse sensible et instinctif, il allie puissance, vivacité et élégance. Sur le ring, il devient redoutable — à l’image de ces hommes calmes dans la vie, mais intrépides dans le combat.

L’homme est pudique, mais derrière cette réserve se révèle une profondeur rare. On sent qu’Arnold appartient à ceux pour qui le sport est un repère, un ancrage, un souffle de vie. Il fait face, surmonte, avance. Pour lui, la boxe n’est pas seulement une discipline, mais un espace de transformation. Ce combat, comme chaque entraînement, incarne un voyage intérieur, une quête d’équilibre et de sens.

Dans son interview, on perçoit une complicité sincère, comme avec toute son équipe, et une manière fraîche de vivre le noble art. L’entraînement pour ce combat constitue en soi un voyage, tout aussi important que le combat lui-même. Quelle que soit l’issue, cette préparation aura sans aucun doute marqué positivement toutes les personnes impliquées.

Bon vent, Arnold.


Thobias San Antonio et Christophe Rime

Thobias San Antonio
Christophe Rime